On est lundi mais personne ne travaille, aujourd'hui c'est la fête de Mouloud, jour férié musulman. A 7h30, Houmed, notre guide vient nous chercher, et nous quittons la maison de bonne heure pour aller voir le lac Assal, une des plus grandes réserves de sel de la planète. En chemin, nous nous arrêtons sur les bords du grand canyon d'une profondeur de près d'1 km. C'est assez impressionnant, surtout qu'il n'y a pas de barrière de sécurité. (eh oui, nous sommes en Afrique !) Un peu plus loin sur la route, nous passons à coté de toute une famille de mandrills. Ces singes sont venus se désaltérer dans des bidons d'eau qui servent de réserves aux nomades. Ils sont assez nombreux sur le territoire djiboutien et nous pouvons facilement les voir sur le bord des routes. 
Nous arrivons enfin au lac Assal, mais nous sommes un peu déçus. Ce site magnifique, avec son immense banquise de sel, perd un peu de sa beauté, car des travaux d'aménagement routier sont en cours. Ils construisent une route goudronnée qui mènera au lac Assal, alors que pour l'instant seule une piste nous y conduit. Et bientôt, des camions viendront chercher le sel pour l'exportation, remplaçant petit à petit les caravanes de dromadaires. Quel dommage ! Nous marchons le long des sources d'eau chaude (70°) et sur la croûte de sel épaisse de 20 cm. Houmed, nous emmène ensuite voir la faille de Tadjoura qui s'ouvre de 2 cm par an. Elle est très longue et très profonde. On a bien essayé, mais nous n'avons pas réussi à voir le fond ! Par endroit, des vapeurs de soufre s'en échappent. Puis nous avons marché un peu au milieu d'un champ de roches volcaniques, nous avons crapahuté sur le sol irrégulier de ce désert noir. Nous avons tous beaucoup apprécié cette ballade au milieu de nulle part, où nous sommes loin de tout et où nous nous sentons si petits. Après avoir repris la 4X4, nous nous arrêtons dans un petit routier local pour y manger les sandwiches et les bananes qu'Houmed nous distribue. Dans cette petite baraque qui ne paye pas de mine, nous buvons le chaï sans trop penser à l'eau qui a pu servir à le préparer... (en tout cas, personne n'a été malade !) 
Pour finir cette journée, nous allons nous baigner au Goubet, là où l'environnement est magnifique, où l'eau est turquoise, mais où malheureusement, il y a beaucoup de rochers dans l'eau !
Nous arrivons enfin au lac Assal, mais nous sommes un peu déçus. Ce site magnifique, avec son immense banquise de sel, perd un peu de sa beauté, car des travaux d'aménagement routier sont en cours. Ils construisent une route goudronnée qui mènera au lac Assal, alors que pour l'instant seule une piste nous y conduit. Et bientôt, des camions viendront chercher le sel pour l'exportation, remplaçant petit à petit les caravanes de dromadaires. Quel dommage ! Nous marchons le long des sources d'eau chaude (70°) et sur la croûte de sel épaisse de 20 cm. Houmed, nous emmène ensuite voir la faille de Tadjoura qui s'ouvre de 2 cm par an. Elle est très longue et très profonde. On a bien essayé, mais nous n'avons pas réussi à voir le fond ! Par endroit, des vapeurs de soufre s'en échappent. Puis nous avons marché un peu au milieu d'un champ de roches volcaniques, nous avons crapahuté sur le sol irrégulier de ce désert noir. Nous avons tous beaucoup apprécié cette ballade au milieu de nulle part, où nous sommes loin de tout et où nous nous sentons si petits. Après avoir repris la 4X4, nous nous arrêtons dans un petit routier local pour y manger les sandwiches et les bananes qu'Houmed nous distribue. Dans cette petite baraque qui ne paye pas de mine, nous buvons le chaï sans trop penser à l'eau qui a pu servir à le préparer... (en tout cas, personne n'a été malade !) 
Pour finir cette journée, nous allons nous baigner au Goubet, là où l'environnement est magnifique, où l'eau est turquoise, mais où malheureusement, il y a beaucoup de rochers dans l'eau !
1 commentaire:
Ah, là, je m'y suis baignée, on flotte même assis, par contre, après, il faut bien rincer, sinon...
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