Et oui , Anaelle a 16 ans et donc, en France, le droit de faire de la conduite accompagnée. A Djibouti, cette solution n'existe pas, le permis ne se passe (ou s'achète !!!) qu'à 18 ans. Avant, théoriquement, on n'a pas le droit de conduire. Mais, comme à Djibouti, tout le monde fait un peu ce qu'il veut, nous aussi ! On a donc décidé de commencer lui apprendre à tenir un volant.
Première leçon : comment passer les vitesses (à l'arrêt) et comment "jouer" avec les pédales ? Bien compris ? Alors dans la foulée, Anaelle se lance et va faire quelques tours sur le terrain vague qui se trouve juste à coté de chez nous. Elle a même ramené la voiture jusque devant le portail toute seule comme une grande ! Premier bilan : la voiture est entière et aucun djiboutien n'est mort écrasé ! Quelques jours plus tard, on la laissera conduire pendant un peu plus de 20 minutes sur la route et la piste qui mène à Khor Ambado. 
Guillaume a déserté la voiture et à préféré monter avec notre voisin : quel courage ! Pourtant, elle s'est bien débrouillée. Après avoir caler plusieurs fois au cours des premières minutes (elle avait oublié de desserrer le frein à main !), elle a conduit comme une pro, en évitant la plupart des trous et des cailloux d'une piste quelque peu accidentée. BRAVO !
Guillaume a déserté la voiture et à préféré monter avec notre voisin : quel courage ! Pourtant, elle s'est bien débrouillée. Après avoir caler plusieurs fois au cours des premières minutes (elle avait oublié de desserrer le frein à main !), elle a conduit comme une pro, en évitant la plupart des trous et des cailloux d'une piste quelque peu accidentée. BRAVO !
1 commentaire:
bon courage, avec la conduite djiboutienne
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