Ce matin, j'assiste à un nouveau cours de cuisine, en compagnie d'Isa, de Dominique (la maman de Zézette) et de quelques autres femmes. Au programme un plat éthiopien : le wat. Nous arrivons au restaurant "le Tana", la patronne nous accueille et nous montre de suite tous les légumes à préparer : allez, au travail !!!
Nous devons éplucher au moins 10 kg d'oignons, des pommes de terre, des carottes, du chou, de l'ail... Nous commençons par les oignons, et bien que nous soyons toutes très heureuses d'être là, nous versons toutes des litres de larmes !!! Après les légumes, npous préparons les viande, poulet et bœuf, ainsi que les lentilles. Il nous faut cuisiner pas moins de 4 plats pour confectionner ce wat : du poulet dans une sauce d'oignons et de piment (le "doro"), du bœuf en petit dés dans un peu de jus (le "tibs"), un mélange de légumes (le "alitcha"), et les lentilles roses en sauce tomate pimentée (le "messil"). Pendant que tous ces plats mijotent, nous prenons nos voitures pour nous rendre quartier 6 (là où il n'y a aucun français !) pour aller acheter les galettes (les "injera"). Nous assistons donc à la cuisson de ces immenses galettes. Dans la pièce, il fait une chaleur torride, et les deux femmes qui travaillent ici passent 8 heures par jour, 7 jours sur 7, debout près du feu, été comme hiver, pour environ 50 € par mois ! De retour au restaurant, c'est prêt !
Sur une injera dépliée dans une assiette, on dépose un peu de chaque plat pour une dégustation avec les doigts, à la façon éthiopienne, verdict : c'est délicieux ! Puis chacune de nous tend ses boites plastiques, pour apporter chez elle un peu de ces succulents mets, le repas de ce midi est tout trouvé !
Nous devons éplucher au moins 10 kg d'oignons, des pommes de terre, des carottes, du chou, de l'ail... Nous commençons par les oignons, et bien que nous soyons toutes très heureuses d'être là, nous versons toutes des litres de larmes !!! Après les légumes, npous préparons les viande, poulet et bœuf, ainsi que les lentilles. Il nous faut cuisiner pas moins de 4 plats pour confectionner ce wat : du poulet dans une sauce d'oignons et de piment (le "doro"), du bœuf en petit dés dans un peu de jus (le "tibs"), un mélange de légumes (le "alitcha"), et les lentilles roses en sauce tomate pimentée (le "messil"). Pendant que tous ces plats mijotent, nous prenons nos voitures pour nous rendre quartier 6 (là où il n'y a aucun français !) pour aller acheter les galettes (les "injera"). Nous assistons donc à la cuisson de ces immenses galettes. Dans la pièce, il fait une chaleur torride, et les deux femmes qui travaillent ici passent 8 heures par jour, 7 jours sur 7, debout près du feu, été comme hiver, pour environ 50 € par mois ! De retour au restaurant, c'est prêt ! 
Sur une injera dépliée dans une assiette, on dépose un peu de chaque plat pour une dégustation avec les doigts, à la façon éthiopienne, verdict : c'est délicieux ! Puis chacune de nous tend ses boites plastiques, pour apporter chez elle un peu de ces succulents mets, le repas de ce midi est tout trouvé !
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